A propos

Periode: Mars 2022

Client: Xel’com Prestige

Sujet: la sécurité de l’eau pour la paix et le développement

Dakar accueille le Forum mondial de l’eau qui se déroulera du 21 au 26 mars 2022 au Centre international de conférences Abdou DIOUF (CICAD) à Diamniadio. Cet événement qui se tient tous les trois ans depuis 1997, rassemble des milliers de participants et se tiendra pour la première fois en Afrique subsaharienne.

Taches

Organisée conjointement par le Conseil Mondial de l’Eau et le gouvernement sénégalais, la 9ème édition du Forum Mondial de l’Eau se tient à Dakar du 21 au 26 mars 2022 avec pour thème « la sécurité de l’eau pour la paix et le développement ».

Process

Voulant marquer une rupture avec les forums précédents, les organisateurs ont souhaité articuler cette édition autour de trois spécificités.

  • Sécurité de l’eau et l’assainissement
  • Eau pour le développement rural
  • Coopération
  • Outils et moyens.

Resultat

Afin de préparer le contenu thématique du Forum, 23 groupes d’action multi-acteurs ont travaillé sur des sous-thématiques. Une centaine de sessions se dérouleront durant la semaine du Forum, tandis que des tables rondes faisant office de synthèse pour chaque priorité réuniront acteurs thématiques et acteurs politiques.

  • L’organisation ou la participation à une quinzaine de sessions officielles
  • L’organisation d’une dizaine de side-events
  • La participation à des RDV avec des décideurs-clés
  • La participation à l’émission de RFI « 7 milliards de voisins »
  • L’organisation d’une table-ronde au Forum Alternatif Mondial de l’Eau (FAME) sur le thème « Comment dépasser le découpage ressource/service dans le secteur de l’eau ? » par la Coalition Eau et le Gret le jeudi 24 mars
  • L’organisation d’un atelier l’Alliance d’Afrique francophone pour l’Eau et l’Assainissement (AAFEA)

Conclusion

Comme à chaque édition du FME, se tiendra en parallèle à Dakar le Forum Alternatif Mondial de l’Eau organisé par différents réseaux de la société civile et militants. Le FAME conteste la légitimité du Conseil Mondial de l’Eau (fondé à l’origine par des entreprises) et du FME, perçu comme un espace mercantile largement dominé par les entreprises, banques, institutions internationales et gouvernements.